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Recit sexe : Fantasme sur un chantier

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit sexe : Fantasme sur un chantier

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    baise gay sur un chantier



    Bonjour aux dialogueurs soixanteneuviens et particulièrement aux gays.

    Voilà mon fantasme que j’ai envie de vous faire partager :

    Je suis soumis sur un chantier par des travailleurs étrangers de toutes les nationalités. Des turcs, des portugais et des maghrébins. Même s'ils sont différents, tous ont au moins une attitude en commun, ils sont machos. Ils me traitent comme une vulgaire femelle. Mais j'adore. Que demander de plus dans ces conditions ? En tous les cas, je prends mon pied. Et c'est cela et cela seul qui compte. Pour le sexe, il n'y a pas de frontière. Ils veulent tous que je les suce.

    Ils m'ont coincé dans leur cabanon. Et je sens bien que tant que je ne réponds pas à leurs désirs, je ne pourrais pas sortir de cet endroit. Alors je m'y colle manu militari. Je me suis mis à genoux. J'ai pris une première bite en bouche. Je commence à pomper.

    Au bout de quelques instants, je reçois un violent coup de pompe dans le cul. Pas trop violent, ça va quand même. Mais je comprends vite qu'au regard de certains, je ne suce pas assez bien. Pas assez rapide en tous les cas, parce que tous veulent y passer. Et dans le cabanon, les travailleurs étrangers sont légion, au moins une dizaine, si ce n'est plus. Je ne les ai pas exactement comptés. Ce n'est que lorsque tous me sont passés dans la bouche que je comprends qu'ils sont au moins une dizaine. Après tous les avoir sucés, au moins quelques instants chacun, je compris qu'ils sont nombreux. Mais je ne rechigne jamais à la tâche surtout lorsqu'il s'agit d'avaler une bonne bite…

    De toute manière, je suis sous la domination de ces types et je n'ai pas le choix. Certains m'ont juté sur la gueule. D'autres non. J'ai aussi avalé le foutre d'autres. Ceux qui n'ont pas largué leur jus en veulent encore. Évidemment, ce sont les plus actifs à présent. Et c'est ainsi que je me retrouve en levrette dans le cabanon.

    L'un est venu me coller un doigt dans le trou du cul. Il a relevé la tête. À tous il a dit quelque chose. J'ai immédiatement compris que je suis bon pour le service. D'ailleurs l'instant d'après, il est le premier à se fourrer entre mes cuisses. Je ne sais plus si celui-là en particulier m'a déjà juté sur la gueule ou dans la gorge. En tous les cas, il a de l'énergie. Son sexe est bien raide. C'est à peine s'il m'a salivé l'anus que déjà sa queue s'enfonce dans mon ventre. L'instant d'après, il me lime...

    Et tous les hommes, tous ces travailleurs étrangers, se sont serrés debout autour de moi. Ils ont leur bite en main. Ils la tiennent. Ils se branlent et se caressent. C'est vraiment bizarre à voir. J'ai bien baissé la tête, relevé le cul, pour recevoir le paquet. Et ça y va fort. A tel point que ses potes l'encouragent. Le type qui m'encule, je sens qu'il y va très fort, et qu'il met un point d'honneur à me baiser dans les plus brefs délais.

    Pour ces types, baiser et éjaculer est sûrement le top of the top. Je ne vais pas m'en plaindre. Je suis au bout de la chaîne et je récupère le sperme, bouche ou cul, gueule ou corps.

    À peine vient-il de jouir dans mon ventre qu'un autre se colle dans mon conduit et qu'en même temps un autre vient me fourrer sa bite raide dans la bouche. Je dois relever la tête. J'en ai un dans le cul, j'en ai un autre dans la bouche. Le processus a singulièrement pris de l'ampleur. Je m'y donne de bon cœur. Je suce et me fais mettre. Ce n'est pas pour me déplaire. Et je ne regrette nullement d'être venu traîner dans le coin.

    Je sais que ces types sont pressés. Je fais de mon mieux. Je sens que le foutre coule dans ma gorge. J'avale. Pas la peine de respirer, et surtout pas le temps, il faut immédiatement remettre la sauce, la mienne et d'abord celle que je dois avaler. Un autre veut se faire pomper. Et comme cela, à la chaîne…

    L'un jouit dans mon trou du cul, un autre le remplace. Je ne peux surtout pas tâter de ma propre nouille. J'ai tant besoin de toute mon énergie, d'abord pour me maintenir à flots, en levrette, et sur mes deux bras, ensuite pour sucer à peu près correctement. Le cul, il suffit de laisser aller. Son ouverture est déjà tellement dilatée. Ma bite, elle est à moitié raide. Je suis tellement excité. Il faudrait que j'en tâte un bout mais je ne peux pas. Bien assez besoin de mes deux mains pour me coller sec sur le sol et assurer la dépendance sexuelle de tous ces mecs. Je n'arrête pas. Ca va dans tous les sens. Je donne tous mes trous à tous tels qu'ils le souhaitent. Je suis vraiment leur bonniche mais ça me plaît bien.

    Je commence simplement à être sérieusement frustré de ne pas pouvoir me toucher, histoire de calmer un peu le feu de mon bas-ventre. Mais eux ils s'en fichent bien de ma tronche. Alors ils m'utilisent encore et encore jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus, qu'ils saturent de ma présence. Alors ils me virent, ils me disent de dégager.

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