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Recit de cul : Elle se fait traiter comme une chienne

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit de cul : Elle se fait traiter comme une chienne

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Trés chers amis, je ne pensais pas que je me confierais une nouvelle fois à vous et aussi vite en plus.....
    Si vous aimez les rapports de dominance alors vous ne m'avez peut être pas encore oubliée, je suis Marie Cécile et je vous ai raconté mes débuts de soumise avec Bernard. Moi qui pensais que je pouvais du jour au lendemain oublier cette rencontre très spéciale et riche en émotions, je me suis trompée... la preuve : durant les quatre jours qui ont suivit le premier rendez vous il m'a été impossible de chasser Bernard de mon esprit. J'étais partagée entre l'envie de tout raconter à mon époux et le désir d'être de nouveau le joujou sexuel de Bernard.

    Je me torturais de questions me demandant mentalement pourquoi j'avais tant aimé être humiliée battue et traîtée comme un objet ou un vide couilles gratuit... Et je me rappelais l'étrange bonheur et la satisfaction que j'avais ressentie à être ainsi malmenée...Ce qui aurait du n'être qu'une minuscule parenthèse dans ma vie de femme commençait à prendre des proportions presqu' obsédantes.Les mains humides et le pouls accéléré je me résolue à épier ma boite aux lettres ou déjà quatre messages m'attendaient. J'étais sommée de rappeler Bernard d' urgence sous peine de punition . Le mot punition m'arracha des frissons de désir, réveillant aussitôt la chienne qui sommeillait en moi.

    Mes doigts me brûlent tandis que je compose son numéro, sa voix dure et inflexible ne prend même pas le temps de me saluer, je reçois l'ordre de le rejoindre immédiatement à son domicile, avec obligation d'être entièrement nue sous ma robe. Mon regard affolé se porte sur mon bracelet montre : il me reste 4 heures devant moi avant le retour de mon époux et une seule option celle de me rendre chez mon maitre sans plus attendre.

    Trempée, nerveuse et surtout excitée à mort, j'enfile la première robe sur laquelle je tombe. Dehors, nue sous ma robe, je tente de marcher jusqu'au parking pour récupérer mon auto, la peur au ventre qu'on puisse s'apercevoir que mes seins dansent librement à chacun de mes pas, peur que d'un seul coup de vent le bas de ma jupe se relève soudain dévoilant mon minou et mes fesses nus. Dans mon sac, des sous vêtements prévus pour le retour à la maison. Mieux vaut être prudente ; j'attends le bon moment pour en parler à mon époux, j' avoues que je redoute un peu sa réaction.

    A peine descendue de l'auto que Bernard apparait sur le seuil de la porte, toujours très élégant dans un costume gris antracite. Après un bref salut le voilà qui m'empoigne la chevelure dans le couloir me forçant à le regarder droit dans les yeux en disant :

    - à l'avenir ma putain, tâches de répondre plus rapidement à mes messages au risque d'être sévèrement punie...

    Sa main écarte brutalement le corsage de ma robe pour y attraper un sein et le pétrir assez fortement pour que je gémisse ce qui ne rate d'ailleurs pas.

    - tu aimes que ton maître te touche comme une prostituée n'est ce pas ?

    Encore une fois, il attend une réponse et quand ses doigts me pincent méchamment, je comprends mon oubli et répond aussi sec :

    - oui mon maître...

    - je veux te l'entendre dire , dire que tu es ma pute, j'attends !

    Bernard a raison je suis sa pute et rien d'autre et je prends plaisir à le dire haut et fort et je vois son sourire satisfait qui crée en moi une joie intense.
    Nous sommes toujours dans l'entrée ou plutôt le couloir qui mène au salon et Bernard tiens à la main un foulard de soie noire qui je le comprends vite est destiné recouvrir mes yeux. Une fois le foulard attaché, c'est le noir total, heureusement la voix de Bernard est là tout prêt, un peu comme un repaire car c'est à la fois grisant et effrayant d'avoir les yeux bandés en ignorant la suite.

    - à quatre pattes putain obéis !

    - mais j'ai le bandeau !

    J'aurais mieux fait de me taire car un soufflet viens s'abattre sur mon visage me faisant réagir de suite. A quatres pattes et bien décidée à tenir ma langue et à obéir je me concentre sur la voix de mon maitre et avance lentement vers lui , pour le rejoindre près du canapé au salon.

    - maintenant vire moi cette robe, et tiens toi à genoux devant moi, mains derrière le dos...

    Humm ce mufle m'excite, en enlevant ma robe des premiers frissons parcourent mon corps, je serre un peu mes cuisse histoire de retenir la mouille qui déborde de mes lèvres, que va t il inventer cette fois pour me surprendre ?
    Le bandeau est une merveilleuse idée, il a tendance à me destabiliser et du coup la situation est cent fois plus excitante, le fait d'attendre, en ne pouvant rien distinguer, me rapelle que je lui appartiens et qu'il peut disposer de moi à sa guise.
    Ses doigts s'emparent de mes mamelons et les font durcir très vite, puis il se met à soupeser mes seins en disant des trucs cochons :

    - oh tu en dû en faire bander des hommes avec des nichons pareils ! t'aime branler des bites avec tes seins et qu'on te jute dessus hein dis le ma chienne !

    - oui maître j'adore ça.....

    - reprend ta position initiale de chienne !

    Les choses se brouillent dans ma tête mais je tente de me concentrer et me soumets à quatre pattes attendant sa réaction. Une première claque retentit sur mes fesses, qui me fait immédiatement écarter les cuisses puis largement.

    - comme ça c'est bien mais je veux que tu te cambres plus petite pute !

    Je m'exécute, et m'abandonne entièrement à ses ordres ; un objet long et raide caresse d'abord doucement mon derrière et avant même que je l'envisage, s'introduit très directement dans le début de mon anus et ressors aussitôt. Un feu intense s'empare de mon bassin tandis que l'objet cette fois rentre à demi dans mon cul m'arrachant un cri de douleur passagère qui se transforme en plaisir quand le maître fait de longs vas et viens dedans. Mes gémissements redoublent et je remue mes hanches pour mieux sentir l'engin quand soudain le maître m'attrape la crinière me tirant la tête en arrière... Je sens son soufle chaud sur mon visage quand il m'invective :

    - je t' interdis de jouir tant que je ne t'en donne pas l'autorisation ma chienne.

    L'objet qui venait de me pilonner l'anus se promène maintenant sur mes lèvres que j'ouvre machinalement pour l'accueillir. L'odeur particulière de mon intimité envahit ma bouche pendant que la bougie car je pense que c'est une bougie, s'enfonce dans mon gosier me faisant cracher et tousser ce qui ravit mon maître qui semble très excité également . Sa bite dure remplace la bougie et je me jette dessus pour l'explorer totalement de ma bouche agile. Amoureusement je l'entoure de salive, pointe le bout de ma langue sur le trou du gland en insistant bien, puis l'enfourne entièrement au plus profond de ma gorge heureuse d'appartenir à cet homme qui aime user et abuser de moi. Mes lèvres reçoivent des multiples coups de queue, j'ai mal à la machoire à force d'ouvrir si grand ma bouche.

    La jute tiède et en grande quantité explose dans ma bouche, et son goût âcre emplit mes narines, mais au moment ou je décide de la recracher, la main du maître serre mes joues me forçant à tout avaler. J'avale donc même si cela ne fait pas partie de mes habitudes sexuelles. Le maître ouvre ma bouche avec ses deux mains pour vérifier que tout a bien été avalé puis m'arrache mon bandeau.

    Surprise !!!! non loin de nous sur le sofa est assis un inconnu qui ressemble étrangement à Bernard mon maître. Dans mes fantasmes les plus inavouables, je n'avais pas imaginé un tel scénario. Quelques frissons secouent mon corps car je comprends que l'homme a assisté à la scène depuis le début d'ou l'intérêt du bandeau.

    - vas te laver la bouche chienne et reviens ce n'est pas terminé, mon frère te trouve très mignonne et tu vas lui montrer que tu es une bonne pute obéissante.

    Dans le miroir de la salle d'eau j'entrevois le visage d'une femme que je ne reconnais pas et pourtant il s'agit bien de moi. Mes yeux brillants paraissent plus intenses,

    De retour au salon, toujours à quatres pattes je viens me poser juste aux pieds du maître qui me caresse doucement les cheveux en disant :

    - tu es une bonne chienne, ton maître est fier.

    Le maître se lève et m'ordonne de m'asseoir sur le fauteuil qu'il a placé devant eux. Je suis nue devant deux hommes dont un qui m'est totalement inconnu et au lieu de ressentir de la honte je ressens un plaisir certain à voir ces deux mecs me dévorer de leurs yeux vicieux.
    De toute façon quelle importance ? Cette sensation d'appartenance me plait tellement que le reste n'a que peu d'importance. Le maître me donne l'ordre de poser mes cuisses à cheval sur les accoudoires en me tenant lègèrement en arrière. Le simple fait d'exiber ma chatte ainsi pour eux me fait mouiller à mort. Nue, écartelée, les lèvres de chatte toutes ressorties et gonflées, le clito énorme brillant de mouille, je suis dans mon élément et je n'ai qu'une hâte c'est que mes trous, au nombre de trois, soient rapidement bouchés. Le maître se lève le premier, suivit de l'autre et je sens que les choses vont s'accéléré.
    Le maître se place près de mon visage et enfonce sa queue dans ma bouche très profondémment, sans ménagement, avec une volonté de me faire mal, mais c'est tellement bon, j'ai la bouche remplie, j'arrive à peine à respirer mais je pompe du mieux que je peux. L'inconnu a sortit son sexe qu'il tiens dans la main, il est circoncis et totalement épilé comme mon maître, et se contente de venir pincer sournoisement mes mamelons. Je suce encore et toujours, les yeux fixés vers l'autre qui viens palper le dessus de mon sexe avant de toucher mon clito sensible.

    - elle est drôlement trempé la garce !

    - ça m'étonne pas, j'ai tout de suite su que cette truie devait mouiller comme une fontaine, un bon gros trou à bite qu'elle a là !

    Les deux hommes parlent de moi comme si j'étais absente.

    - on va te baiser à deux grosse truie et je suis persuadé que ce sera une première pour toi ! ?

    Bernard est perspicace, il a raison quand il dit que ce sera la première fois pour moi que deux mecs me baisent ensemble. Bernard se saisit d'un préservatif et demande à l'autre d'en faire autant.
    J'ai chaud je me sens très pute, et je désire que ces deux là en finissent avec moi, qu'ils me baisent pour de bon car leurs carresses sont un supplice.
    Bernard mon maître a pris place dans le fauteuil et m'asseois sur lui pour appuyer sur mes épaules de sorte que d'un mouvement puissant il est déjà en moi, mes seins s'écrasent sur son visage quand l'autre vient s'appuyer sur mon dos en m'enculant aussi sèchement que mon maitre, je me retrouve prise en sandwich pouvant à peine remué, subissant leurs coups de queues incessants , mon ventre ravagé et mon cul défoncé supportent les deux queues qui se frottent presque tant mes deux trous dilatés sont proches l'un de l'autre.

    Bientôt dans le salon s'élèvent nos râles de plaisir, des gouttes de sueur perlent sur tout mon corps tandis que les deux hommes achèvent de me baiser et jouissent en m'insultant avec des mots obscènes ; je reste quelques minutes hébétée, dans le brouillard avant de reprendre lentement mes esprits.

    Discrétement je m'esquive vers la salle de bains avec ma robe et mon sac.S'ensuit une douche rapide et c'est avec soulagement que je ressors de la salle de bains, vêtue de ma robe correctement boutonnée, sous vêtements oblige puisque j'ai repris le contrôle de moi même, mes cheveux coiffés, et remaquillée soigneusement. Les deux hommes se sont rhabillés et discutent au salon, à mon arrivée Bernard me présente son frère Armand qui me sourit tendrement et dépose un doux baiser sur mon front en me remerciant de ma super collaboration. Le jeu est bel et bien fini et je me retrouve en face de deux hommes charmants qui rivalisent de gentillesse à mon égard.

    Bernard me propose une boisson fraîche mais il est déjà tard et j'ai peur de rentrée à labours.
    Prés de la porte d'entrée Bernard me demande encore :

    - j'espère que tu ne m'en veux pas d'avoir pris certaines initiatives ?

    Je comprends qu'il parle de le présence de son frère et je lui répond que c'était une riche idée.
    Bernard se penche alors vers moi et dépose un baiser sensuel sur le bord de mes lèvres, entourant de manière possessive ma taille, une étreinte chargée de complicité dont je m'extraie rapidement pour me faufiler jusqu'à la voiture un peu gênée par ce baiser innatendu et rempli de promesses.

    De retour à la maison, je dresse la table en quatrième vitesse, enfourne le gratin au four, allume deux bougies dans le salon et monte au premier me faire couler un bain chaud aux huiles essentielles de jasmin...

    Voilà très chers amis, je pense vous avoir tout dit de cette deuxième rencontre qui fut pour moi vous l'aurez compris un moment de pur délice. J'aimerais avoir la même facilité qu'avec vous de pouvoir tout dire à mon époux mais encore faut il trouver le courage et le bon moment. Peut être qu' à ma prochaine visite sur dialogue69 j'aurais le plaisir de vous dire que je me suis enfin décidée à tout lui avouer .
    En attendant je vous fais de grosses bises ....

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
Je l'ai lu d'une main.Continue comme ça salope
Posté le par lettrice :
hhhhmmmmm j'ai mouillé
Posté le par nichon 47 :
j'ai adoré
Posté le par aze :
hummmmm
Posté le par Gros cochonne :
Hmmmm cette histoire ma fait mouillé
Posté le par petassseenchaleur :
jouissif
Posté le par appol :
hummmmmm continue d'etre chienne tu es formidable ainsi
Posté le par marylin4700 :
j'ai adoré ton histoire

Posté le par momo :
j'ai adore ton histoire
Posté le par kont2012 :
J'ai adoré cette histoire et cette petite chienne mérite de se faire enculer par un chien .
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