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Recit de cul : A la rencontre de la chaude Clémence

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    Recit de cul : A la rencontre de la chaude Clémence

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Sa vulve est scandaleuse ,je ne m’y attendais pas du tout, après avoir vu le visage innocent, ces grands yeux bleus et ces joues roses. C’est la première fois qu’une femme me montre sa chatte. Cette vicieuse me l’exhibe en écartant les cuisses, le regard franc et direct. Ses petites lèvres dépassent de façon outrancière. Tout juste poilue, elle s’ouvre comme une blessure, luisante de cyprine. Mais ce qui me marque, plus que cet amas de chaire mouillée, c’est ce renflement comme une ampoule érigée, le clitoris. Je reste interdite devant tant d’impudeur, l’excitation me gagne. Je me sens comme une enfant devant son jouet. Si seulement je pouvais jouer avec sa chatte. Mais elle me repousse du pied, écartant plus amplement ses petites lèvres pour me livrer son trou.

    La première fois que j’ai vu Clémence, j’ai été de suite absorbée par son décolleté de salope. Elle avait des seins ronds, volumineux et bien écartés. Je me voyais plaquer ma langue humide dans la fente de sa poitrine haletante. Mais cette petite pute de dix huit ans prenait sans gêne la place de ma mère. Je n’avais pas le droit d’avoir ce genre de pensée pour cette gamine. “Belle-mère, c’est ma belle mère bordel !”, cette phrase me tourmentait depuis déjà quelques minutes quand mon père m’a dit : “Nicole , je te présente Clémence, elle est dominicaine, je l’ai rencontré durant mon séminaire là-bas. Elle est diplômée de l’Université des Antilles-Guyane, bonne nouvelle donc, elle maîtrise très bien la langue.” Cette remarque ,évidemment salace était bien sûr accompagnée du sempiternel regard sale de mon père quand il se prête à ce genre de jeux de mots. Son regard s’est à son tour arrêté sur la fente de sein de Clémence, et déjà je voyais une bosse se former à son entrejambe.
    A vomir. J’ai sept ans de plus que cette catin et jamais il ne m’a bandé dessus ce chien. Bref. Il me fallait sublimer ma rage… en baisant cette garce.
    C’est donc au cours d’un séjour de famille, si je peux appeler ça comme ça, que j’ai fait plus ample connaissance avec la petite Clémence. Ce corps si frêle, cette cambrure si exagérée, cette chute de reins insultante, ces fesses bombées et cet anus rose si dilaté.
    Comme à mon habitude en ce mois de Juillet, j’ai décidé de passer une semaine chez mon père… et sa pute. Et comme je m’y attendais, il l’a baisé comme un sauvage. Bruillant, sans pudeur. La situation était excitante. Déjà je frottais ma chatte dégoulinante et chaude. Putain quel pied. Je me rentrais alternativement deux doigts puis quatre au rythme des coups de rein de mon père. Le claquement des cuisses paternelles sur le cul de la garce donnait la cadence. “Et merde, il faut que je voit çà !”, déjà mes cuisses se collent de cyprine. J’étais à bout de nerfs. “Il faut que je voit ça !”. C’est en simple t-shirt que je me suis discrètement rendue à la porte de chambre parentale. Elle était entrouverte… comme ma chatte et ma bouche à ce moment là. Le spectacle qui s’offrait à ma vue était délicieux. Son cul de salope était ouvert, laissant voir le trou béant de son anus plein de foutre. Mon père lui enfonçait son épaisse langue avant de brutalement lui administrer une fessée monumentale. La fesse droite de Clémence rougissait tellement que je dû me mordre les lèvres pour ne pas en baver. Je me suis accroupie pour mieux me doigter tandis que mon père la sodomisait sauvagement avant de retomber sur le côté du lit, visiblement ravi d’avoir accompli sa mission favorite ,à savoir, défoncer les adolescentes. Ce gros porc s’est endormi presque aussitôt.
    J’étais tellement absorbée par ma masturbation que je n’avais pas remarqué que Clémence m’avait collé. Laissant derrière moi une flaque de liquide sexuel, telle une gamine prise sur le fait, j’ai détalé, non sans glisser, direction ma chambre à l’autre bout du couloir.
    C’est timidement que Clémence a frappé à ma porte quelques longues minutes plus tard. Sans attendre ma réponse elle est rentrée en me gratifiant d’un de ses aigus “Bonsoir Nicole”. Je ne savais pas quoi lui répondre. A vrai dire, mon corps était encore luisant de honte et d’excitation. Elle s’est simplement assise face à moi, sur mon lit. Elle avait mis une superbe robe de chambre blanche, virginale, transparente, laissant voir des tétons déjà bien dressés. Elle portait une simple culotte de coton blanche, très sage. Comme elle mouillait beaucoup, alors qu’elle écartait lentement ses jambes, je pouvais voir à l’endroit où la fente se trouvait en contact avec le coton, la large tache que sa cyprine laissait. J’avais envie de déplacer latéralement l’étoffe pour dévoiler sa fente, d’y glisser mes doigts pour farfouiller dans ses muqueuses. Mais elle semblait prendre plaisir à frotter sa fente de haut en bas à travers le fin tissus. Je sentais déjà le liquide chaud dégouliner de mon vagin vers mes fesses. C’est alors qu’elle a enlevé sa robe, dévoilant son corps parfait, sa poitrine offerte. En un instant je lui ai arraché sa culotte…

    Sa vulve est scandaleuse ,je ne m’y attendais pas du tout, après avoir vu le visage innocent, ces grands yeux bleus et ces joues roses. C’est la première fois qu’une femme me montre sa chatte. Cette vicieuse me l’exhibe en écartant les cuisses, le regard franc et direct. Ses petites lèvres dépassent de façon outrancière. Tout juste poilue, elle s’ouvre comme une blessure, luisante de cyprine. Mais ce qui me marque, plus que cet amas de chaire mouillée, c’est ce renflement comme une ampoule érigée, le clitoris. Je reste interdite devant tant d’impudeur, l’excitation me gagne. Je me sens comme une enfant devant son jouet. Si seulement je pouvais jouer avec sa chatte. Mais elle me repousse du pied, écartant plus amplement ses petites lèvres pour me livrer son trou.
    Alors tout doucement, au rythme des mouvements de son bassin elle passe sensuellement son index autour de l’orifice humide. Ne tenant plus, j’attrape ses cuisse et plaque ma langue sur sa chaire frémissante. Suivant la cadence furieuse de son bassin, je bouge ma langue de haut en bas dans sa chatte. A chaque passage de ma langue sur ses petites lèvres, je peux sentir les filaments glaireux de son vagin. Elle exprime son plaisir dans un râle long et animal. Poussée par le vice, je lui suce son beau clitoris tout en lui administrant deux doigts. Je sens sur ma main la mouille couler. Cette vicieuse que je suis sais y faire. D’un trait ma langue passe de son trou à son gros sein. Je fais lentement le tour de son auréole puis mordille, tire maltraite son téton. Simultanément mes doigts s’enfoncent profondément vers le haut de son vagin qui laisse dévaler les flots de cyprine. Prise de convulsions, cette salope sert fort les cuisse autour de ma main. Et c’est dans un cri qu’elle se laisse aller à son plaisir. Elle était magnifique. Allongée là, la poitrine et la vulve offerte, les cheveux en batailles et la lèvre humide.

    J’aime bien les filles qui se laissent entièrement faire. J’aime encore plus celles qui trompent leur partenaire pour s’adonner aux plaisirs saphiques, celles qui ont besoin de ce sentiment de trahison et de cachotterie. Je n’ai revu Clémence qu’à son mariage avec mon père. Je dois dire que leur nuit de noce fut particulièrement cochonne. Mais ca je vous le conterai quand je pourrai l’écrire sans serrer les cuisses.

    Hebenyde

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